…à Roubaix, ouai, Roubaix c’est la classe.
Enfin la classe… C’est tout à fait relatif. Je ne déblatérerai pas trop (encore) sur Roubaix, cette ville est un feu de forêt, une bombe atomique, une passion, une douleur, des bonheurs, généreuse, violente, métamorphique, un tajine à la noix, une baffe dans la gueule, la guerre des étoiles…
Je n’ai pas envie d’en parler parce que je ne saurai tout simplement pas garder mon calme, cela va se ressentir dans mes phrases, ça sera vulgaire, gras, bas, faible. J’ai déjà essayé, ça me rend lourd…
J’aime Roubaix, c’est pour ça que ma sévérité sera sans équivoque quant à mon jugement et à la forme de mon réquisitoire.
Déjà, Roubaix c’est beau :
C’est bucolique :
Je ne peux rien dire de plus pour l’instant. Tout peut déjà être retenu contre moi, je me dois d’être concis. Un homme parle de Roubaix avec franchise, il est grand, il s’appelle Nicolas Daquin.
Ca en jete !